Assis sur leur pognon. L'avarice est la seule passion qui ne coûte rien. A la libération pour nettoyer un peu les fortunes construites sur le marché noir on changea les billets, et comme des pécules avaient été amassés illégalement on retrouva dans les fossés des sacs pleins de ce fric démodé. Leurs propriétaires qui ne pouvaient pas expliquer ces montagnes de pèze les jetait comme des ordures. Les fossés étaient plein d'oseille ! Comme disait Sénèque : " le pauvre n'est pas celui qui a peu, c'est celui qui n'a jamais assez".
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