Mon troisième oeil est myope j'ai du mal à voir mon âme nette !
( Balthazar Forcalquier )
samedi 30 septembre 2017
vendredi 29 septembre 2017
L'aphorsime de la semaine
Une 1/2 heure et demie !
J'ai la nuque raide, je le savais, mais quand même ça fait mal.
( Balthazar Forcalquier )
J'ai la nuque raide, je le savais, mais quand même ça fait mal.
( Balthazar Forcalquier )
jeudi 28 septembre 2017
Jacques Bonnaffé à Chinon en compagnie de Rabelais
Fantaisie, abondance, truculence, coq à l'âne, chocs doux et poésies luxuriantes ...
mercredi 27 septembre 2017
A ne pas manquer !
Ce dimanche 1 er octobre à ne pas manquer au château de Oiron
14h30 Le compositeur Gavin Bryars et les musiques minimalistes Conférence musicale par S. Bonneau, professeur de violoncelle du conservatoire de Thouars.
15h30 Rencontre entre le compositeur Jean-Marie Lemarchand et les élèves du conservatoire
16h30 Concert Création de l’œuvre System Out de Jean-Marie Lemarchand par les élèves des classes Guitare classique et Musiques actuelles
14h30 Le compositeur Gavin Bryars et les musiques minimalistes Conférence musicale par S. Bonneau, professeur de violoncelle du conservatoire de Thouars.
15h30 Rencontre entre le compositeur Jean-Marie Lemarchand et les élèves du conservatoire
16h30 Concert Création de l’œuvre System Out de Jean-Marie Lemarchand par les élèves des classes Guitare classique et Musiques actuelles
Et pour suivre la stupéfiante et enivrante oeuvre de Terry Riley " In C " par les professeurs et leurs élèves.
C'est une chance inouïe de pouvoir entendre cette pièce sous nos cieux.
Tarifs droits d’entrée du monument / renseignements : 05 49 66 41 64 conservatoire@thouars-communauté.fr
Tarifs droits d’entrée du monument / renseignements : 05 49 66 41 64 conservatoire@thouars-communauté.fr
mardi 26 septembre 2017
Dans la rue
Thouars étonnante ville
C'est de la poésie pure
Dans la vitrine abandonnée on peut lire
"Venez découvrir la ménagerie
"(H)umes Homme
"Nues de cortège".
lundi 25 septembre 2017
"Papa passe moi la clef de 12 "
Dieu s'ennuyait dans son atelier si parfaitement rangé ; ici même le boulon de 8/12e avait son écrou de 8/12e, dans le tiroir astiqué marqué de cette divine formule "8/12e". Dieu avait bien inventé le cambouis mais il ne savait qu'en faire, aussi l'avait-il mis dans un bocal d'une grande propreté. La poubelle n'avait jamais servi !
Alors Dieu fabriqua l'homme, et il fit exprès d'oublier quelques pièces. Il n'ouvrit pas le tiroir astiqué estampillé " bon sens".
Bref l'homme fut, et ce fut un beau bordel dans l'atelier. C'est depuis ce temps que les femmes qui n'avaient pas encore été inventées ne savent pas bricoler et n'aiment pas les ongles noirs ni le délicat parfum de gasoil.
dimanche 24 septembre 2017
samedi 23 septembre 2017
vendredi 22 septembre 2017
L'aphorisme de la semaine
Je ne me souviens plus de ce qu'il me fallait oublier !
(Balthazar Forcalquier)
(Balthazar Forcalquier)
jeudi 21 septembre 2017
mercredi 20 septembre 2017
Il ne peut rien arriver désormais
Deux pelletées de sable sur un trottoir et une belle protection, ne manquent que les gyrophares.
Thouars est une ville étonnante !
mardi 19 septembre 2017
lundi 18 septembre 2017
Puisqu'on vous dit que c'est de l'art
Thouars est une ville étonnante !
A Thouars, les vitrines du centre se vident, alors la municipalité a pensé faire appel aux artistes, et cela change tout .
Ici la vitrine de l'ancienne bijouterie Boinot
L'artiste dans "l'espace muséal" par un "jeu d'échelle" a propulsé la vacuité d'un échange mercantile dans une perspective symbiotique aux marches d'un inéluctable désert qui progresse en dépit des combats mous.
Cela saute aux yeux en effet.
On se demande après ça pourquoi on évite de passer par là !
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Mon vieux pote
On sait peu de choses de la vie domestique de Bach mais on sait qu'il buvait du vin ce bon compagnon.
dimanche 17 septembre 2017
samedi 16 septembre 2017
La phrase romanesque
Signe des temps: le fabricant de serpentins avait fait faillite et le personnel de l'atelier, trop spécialisé, n'a pas trouvé de boulot !
(Balthazar Forcalquier)
(Balthazar Forcalquier)
Voyage auditif
Merci à Thibault pour cette découverte
ici l'adresse de sa passionnante chaîne youtube :
vendredi 15 septembre 2017
L'aphorisme de la semaine
C'est un excellent artiste contemporain mais on ne sait jamais si son oeuvre est sacrée ou profane ...
(Balthazar Forcalquier)
(Balthazar Forcalquier)
jeudi 14 septembre 2017
mercredi 13 septembre 2017
Selon les syndicats et selon la police
Thouars n'est décidément pas une ville comme les autres. A la manif mardi, les syndicats ont compté 260 participants, et la police (RG)... 290 !
La police en rajoute 30 de plus, c'est sympa. Ou alors elle compte aussi ses propres troupes qui accompagnaient le cortège. Les policiers étant alors numériquement solidaires. C'est beau ! Bienvenue camarades.
mardi 12 septembre 2017
Avisse à la population
Qui montre les dents , ça ne fera pas un pli
avis à Randy, Nebraska et Rex !
Youki, Kiki, Nine, Ici ... vous pouvez continuer.
lundi 11 septembre 2017
Bienvenue nulle part
Ici le monde est différent, au sud du rouge, au nord du noir, à l'ouest des craquelures, à l'est des brisures. C'est le panneau d'un monde qui va nulle part et vient de rien. On y est un peu chez soi. Enfin ... cela ressemble à une vie . C'est un panneau indicateur, prenons en de la graine.
dimanche 10 septembre 2017
samedi 9 septembre 2017
La phrase romanesque
Le Saint-Nectaire c'est ce fromage qu'on trouve délicieux ... surtout dans son souvenir .
(Balthazar Forcalquier)
vendredi 8 septembre 2017
L'aphorisme de la semaine
Moi ... j'adore les vins vieux,
mais les hommes, je les préfère jeunes.
(May-Lise)
mais les hommes, je les préfère jeunes.
(May-Lise)
jeudi 7 septembre 2017
mercredi 6 septembre 2017
mardi 5 septembre 2017
Besoin de vous
On parle d'amour propre ... Je vois ce que cela peut-être... en gros.
Mais l'amour sale ?
Et peut-on laver de l'amour sale pour le rendre propre ?
Avec quel produit ?
Et est-ce que l'amour rétrécit quand il a bouilli ? Garde-t-il ses couleurs ?
J'attends vos réponses.
Mais l'amour sale ?
Et peut-on laver de l'amour sale pour le rendre propre ?
Avec quel produit ?
Et est-ce que l'amour rétrécit quand il a bouilli ? Garde-t-il ses couleurs ?
J'attends vos réponses.
lundi 4 septembre 2017
Les jeunes n'ont plus de culture !
Ben oui les jeunes ne savent plus rien ! Je demande l'autre jour à un morveux " qui qu'est Kurt von Straffenber ?" y m'r'garde avec des yeux de merlan frit " Heu... l'ennemi de superman ???"
J'lui'file une claque
"Mheuuuu non c'est l'ennemi de Zappy Max pôv nouille."
Les jeunes n'ont plus de culture.
dimanche 3 septembre 2017
samedi 2 septembre 2017
Romanesque
Il ne reste plus que quelques mesures de la stupéfiante confiture d'orange amère
Heureusement il reste "banane-rhubarbe", l'abricot n'ayant pas résisté à l'attaque soudaine auvergnate !
Et voici que les figues arrivent au galop à l'Est du jardin, là où habitent les beaux esprits.
Une semaine avec ...
(Le Son Du Silence)
Hello darkness, my old friend,
Bonsoir ténèbres, mon vieil ami,
I've come to talk with you again
Je suis venu discuter encore une fois avec toi
Because a vision softly creeping,
Car une vision s'insinuant doucement en moi,
Left its seeds while I was sleeping
A semé ses graines durant mon sommeil
And the vision that was planted in my brain, still remains
Et la vision qui fut plantée dans mon cerveau, demeure encore
Within the sound of silence
A l'intérieur, le son du silence
Bonsoir ténèbres, mon vieil ami,
I've come to talk with you again
Je suis venu discuter encore une fois avec toi
Because a vision softly creeping,
Car une vision s'insinuant doucement en moi,
Left its seeds while I was sleeping
A semé ses graines durant mon sommeil
And the vision that was planted in my brain, still remains
Et la vision qui fut plantée dans mon cerveau, demeure encore
Within the sound of silence
A l'intérieur, le son du silence
In restless dreams I walked alone,
Dans mes rêves agités j'arpentais seul,
Narrow streets of cobblestone
Des rues étroites et pavées
'Neath the halo of a street lamp,
Sous le halo d'un réverbère,
I turned my collar to the cold and damp
Je tournais mon col à cause du froid et de l'humidité
When my eyes were stabbed by the flash of a neon light,
Lorsque mes yeux furent éblouis par l'éclat de la lumière d'un néon,
That split the night and touched the sound of silence
Qui déchira la nuit et atteignit le son du silence
Dans mes rêves agités j'arpentais seul,
Narrow streets of cobblestone
Des rues étroites et pavées
'Neath the halo of a street lamp,
Sous le halo d'un réverbère,
I turned my collar to the cold and damp
Je tournais mon col à cause du froid et de l'humidité
When my eyes were stabbed by the flash of a neon light,
Lorsque mes yeux furent éblouis par l'éclat de la lumière d'un néon,
That split the night and touched the sound of silence
Qui déchira la nuit et atteignit le son du silence
And in the naked light I saw,
Et dans cette lumière pure je vis,
Ten thousand people, maybe more
Dix mille personnes, peut être plus
People talking without speaking,
Des personnes qui discutaient sans parler,
People hearing without listening
Des personnes qui entendaient sans écouter
People writing songs that voices never share,
Des personnes qui écrivaient des chansons qu'aucune voix n'a jamais emprunté,
And no one dared disturb the sound of silence
Et personne n'osa déranger le son du silence
Et dans cette lumière pure je vis,
Ten thousand people, maybe more
Dix mille personnes, peut être plus
People talking without speaking,
Des personnes qui discutaient sans parler,
People hearing without listening
Des personnes qui entendaient sans écouter
People writing songs that voices never share,
Des personnes qui écrivaient des chansons qu'aucune voix n'a jamais emprunté,
And no one dared disturb the sound of silence
Et personne n'osa déranger le son du silence
Fools, said I, you do not know,
Idiots, dis-je, vous ignorez,
Silence, like a cancer, grows
Que le silence, tel un cancer, évolue
Hear my words that I might teach you,
Entendez mes paroles que je puisse vous apprendre,
Take my arms that I might reach you
Prenez mes bras que je puisse vous atteindre
But my words, like silent raindrops fell,
Mais mes paroles tombèrent telles des gouttes de pluie silencieuses,
And echoed in the wells of silence
Et résonnèrent dans les puits du silence
Idiots, dis-je, vous ignorez,
Silence, like a cancer, grows
Que le silence, tel un cancer, évolue
Hear my words that I might teach you,
Entendez mes paroles que je puisse vous apprendre,
Take my arms that I might reach you
Prenez mes bras que je puisse vous atteindre
But my words, like silent raindrops fell,
Mais mes paroles tombèrent telles des gouttes de pluie silencieuses,
And echoed in the wells of silence
Et résonnèrent dans les puits du silence
And the people bowed and prayed
Et ces personnes s'inclinaient et priaient
To the neon god they made
Autour du dieu de néon qu'ils avaient créé
And the sign flashed out its warning
Et le panneau étincela ses avertissements
In the words that it was forming
A travers les mots qu'il avait formés
And the sign said : the words of the prophets
Et le signe dit : les mots des prophètes
Are written on the subway walls
Sont écrits sur les murs des souterrains
And tenement halls,
Et des halls d'immeubles,
And whispered in the sounds of silence
Et murmurés à travers les sons du silence
Et ces personnes s'inclinaient et priaient
To the neon god they made
Autour du dieu de néon qu'ils avaient créé
And the sign flashed out its warning
Et le panneau étincela ses avertissements
In the words that it was forming
A travers les mots qu'il avait formés
And the sign said : the words of the prophets
Et le signe dit : les mots des prophètes
Are written on the subway walls
Sont écrits sur les murs des souterrains
And tenement halls,
Et des halls d'immeubles,
And whispered in the sounds of silence
Et murmurés à travers les sons du silence
vendredi 1 septembre 2017
Une semaine avec ...
De la fille que j'aime,
Qui se trouve ici à côté de moi
Endormi avec la nuit,
Et ses cheveux, dans une fine brume
Flottent sur mon oreiller,
Reflétant la lueur
De la lune d'hiver.
Elle est douce, elle est chaude,
Mais mon cœur reste lourd,
Et je regarde ses seins
Doucement monter, doucement retomber,
Car je sais qu'aux premières lueurs de l'aube
Je serais parti,
Et ce soir sera
Tout ce que j'ai laissé à rappeler.
Ah, qu'ai-je fait,
Pourquoi l'ai-je fait,
J'ai commis un crime,
J'ai enfreint la loi.
Pour vingt-cinq dollars
Et quelques pièces d'argent,
J'ai tenu bon et dévalisé
Un magasin d'alcool fort.
Ma vie semble irréel,
Mon crime une illusion,
Une scène mal écrite
Dans lequel je dois jouer.
Pourtant je sais que je regarde
Mon jeune amour à côté de moi,
Le matin est juste à quelques heures.
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