lundi 30 novembre 2020
dimanche 29 novembre 2020
Blaise Cendrars : Le Panama ou les aventures de mes sept oncles
Dernier Français de Panama (il n'y en a pas 20)
Je vous dédie ce poème
Barman du Matachine
Des milliers de Chinois sont morts où se dresse maintenant le
Bar flamboyant
Vous distillez
Vous vous êtes enrichi en enterrant les cholériques
Envoyez-moi la photographie de la forêt de chênes-lièges qui pousse
sur les 400 locomotives abandonnées par l'entreprise française
Cadavres-vivants
Le palmier greffé dans la banne d'une grue chargée d'orchidées
Les canons d'Aspinwall rongés par les toucans
La drague aux tortues
Les pumas qui nichent dans le gazomètre défoncé
Les écluses perforées par les poissons-scie
La tuyauterie des pompes bouchée par une colonie d'iguanes
Les trains arrêtés par l'invasion des chenilles
Et l'ancre gigantesque aux armoiries de Louis XV dont vous n'avez su
m'expliquer la présence dans la forêt
Tous les ans vous changez les portes de votre établissement incrustées
de signatures
Tous ceux qui passèrent chez vous
Ces 32 portes quel témoignage
Langues vivantes de ce sacré canal que vous chérissez tant
samedi 28 novembre 2020
La phrase romanesque
Si tu réincarnes en caillou, et ben, tu deviens immortel !
(Balthazar Forcalquier)
vendredi 27 novembre 2020
jeudi 26 novembre 2020
mercredi 25 novembre 2020
Un petit pas grand chose
mardi 24 novembre 2020
Dernier jour
lundi 23 novembre 2020
Message d'amour
dimanche 22 novembre 2020
Comme souvent !
Aristide Bouledog avait cédé aux caprices de sa fille. Il alla visiter avec elle l'humanil de la SPH ( société protectrice des humains). Doudoune ( c'était le prénom de cette fille gâtée) tomba sous le charme de Marcel Petitpied, un homme au regard triste qui boitait un peu. Le dresseur expliqua que Marcel avait été un peu maltraité par son ancien maître, une sorte de Pitbull croisé Starffordshire terrier peu enclin aux câlins.
Comme on peut s'en douter Doudoune chouchouta Marcel Petitpied pendant deux mois, puis tenta de lui apprendre à tenir une balle sur son front ... en vain. Lassée elle délaissa l'humain. Et pour finir Aristide Bouledog fut le seul à s'en occuper, lui donnant à manger des croquettes bon marché et l'emmenant en promenade et en soupirant. Finalement Aristide Bouledog acheta une dose de curare. Il piqua l'homme et l'enterra dans son jardin. Longtemps après il retrouva dans la cave le doudou de Marcel Petitpied, un petit chien en peluche tout mâchouillé. Il le mit à la poubelle, et on n'en parla plus.
Voilà tout.
samedi 21 novembre 2020
La phrase romanesque
C'est vrai, je suis toujours dans l'excès, je me trouve beau ... NON ! TRES BEAU.
(Balthazar Forcalquier)
vendredi 20 novembre 2020
L'aphorisme de la semaine
Avoir de l'imagination c'est sympa, mais faut pas compter avoir des vacances.
(Balthazar Forcalquier)
jeudi 19 novembre 2020
mercredi 18 novembre 2020
Tranche de vie
lundi 16 novembre 2020
135 €
dimanche 15 novembre 2020
Pour la route
Bon encore un p'tit dernier parce que ce sera le douzième et on filoche, faut savoir dire "Sotp" faut être raisonnable on encore "Prud-ance" à écrire devant l'école.
la "Psy" en pièce(s)
Du théâtre pour dire la réalité à Thouars et ailleurs, c'est une expérience troublante et émouvante sur la vie des "psys" à l'hôpital, et bien sûr on pense à l'infirmière poignardée ici.
A voir ici :
samedi 14 novembre 2020
vendredi 13 novembre 2020
L'aphorisme de la semaine
Si on répète le mot "répète", cela fait trop non ? Pareil pour "bis" d'ailleurs.
(Balthazar Forcalquier)
jeudi 12 novembre 2020
Vendanges 2020 : une curieuse expérience
mercredi 11 novembre 2020
Allez !
mardi 10 novembre 2020
lundi 9 novembre 2020
Tout un art
dimanche 8 novembre 2020
Je ne suis pas sûr de moi, les bouteilles se vident
samedi 7 novembre 2020
La phrase romanesque
Langue française = casse-tête :
"Autrefois" : c'est le passé, "à une autre fois" : c'est le futur ; va expliquer cela à un étranger.
(Balthazar Forcalquier)
vendredi 6 novembre 2020
L'aphorisme de la semaine
J'ai une seule question à te poser ... mais laquelle ?
(Balthazar Forcalquier)
jeudi 5 novembre 2020
mercredi 4 novembre 2020
Code de la route
mardi 3 novembre 2020
Enquête exemplaire
- hum, hum dit-il on dirait que l'assassin a utilisé un truc lourd. Allons voir la maison témoin, là-bas.
- Mais la maison témoin ne peut rien nous dire elle est là pour les gens qui veulent acheter un pavillon, dit l'inspecteur stupéfait.
- Un témoin est un témoin ! vous ne savez pas encore cela ? répliqua le commissaire agacé.
Ils allèrent donc visiter la maison témoin, elle était fermée, mais un carreau était cassé.
- Tiens tiens bizarre dit l'inspecteur, il y a eu effraction.
- Mais ce n'est pas une effraction c'est une aération répondit le commissaire.
- Hein ? grogna l'inspecteur.
A ce moment là arriva l'agent immobilier :
- Je vous ouvre messieurs, ce carreau c'est moi qui l'ai cassé pour aérer un peu, la porte fenêtre est bloquée.
- Ah qu'est-ce que je disais, ricana le commissaire, une aération ! je vous le disais, les morceaux cassés sont à l'extérieur, pas à l'intérieur ... vous n'êtes pas bien malin inspecteur.
Les policiers entrèrent, dans la chambre ils trouvèrent un rouleau à pâtisserie taché de sang.
- Je parie que c'est l'arme du crime dit le commissaire.
- Sans doute un meurtre passionnel, c'est la femme de la victime qui a fait le coup, proposa l'inspecteur.
- Pas du tout répondit le commissaire, seul un pâtissier utilise un rouleau à pâtisser. Allons donc voir le charcutier.
- Le charcutier ? interrogea l'inspecteur. Mais pourquoi pas le pâtissier ?
- Parce que le charcutier veut faire accuser le pâtissier c'est évident ! vous êtes nul inspecteur !
Effectivement en voyant arriver le commissaire le charcutier s'effondra et avoua, il était jaloux du pâtissier et avait voulu l'impliquer en tuant un clochard au hasard.
- Mais comment avez-vous su que c'était le charcutier demanda l'inspecteur au commissaire.
- Parce que sur les poignées du rouleau ensanglanté il y avait des restes de boudin. Or un pâtissier ne fait pas de boudin ! Vous ne savez pas ça !
Voilà c'est tout.
lundi 2 novembre 2020
dimanche 1 novembre 2020
Le Dieu du travail