Après la Commune, Gustave Courbet est déclaré responsable de la chute de la colonne Vendôme (elle portait la statue de Napoléon) .
Echange
Cette question "Dieu existe-t-il ?" contre un joker.
Un doute contre une hésitation.
Il était tellement égocentrique qu'il voulait s'autosuicider !
(Balthazar Forcalquier)
https://www.youtube.com/watch?v=83pwRYrGKM8
Echange
Une poudre de pelinpinpin contre de la poudre aux yeux.
Un désir contre un soupir.
Beaucoup de singes vivaient près d'un village. Un jour, un marchand est venu au village acheter ces singes ! Il a annoncé qu'il les achèterait 100 $ chacun. Les villageois pensaient que cet homme était fou. Comment quelqu'un peut acheter des singes errants à 100 $ chacun? Pourtant, certaines personnes ont attrapé des singes et les ont apporté à ce marchand qui leur a donné 100 $ pour chaque singe.
Cette nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre et les gens ont attrapé des singes et les ont vendus au marchand ! Après quelques jours, le marchand a annoncé qu'il achèterait des singes à 200 $ pièce.
Les villageois les plus paresseux ont également couru pour attraper les singes restants ! Ils ont vendu ces singes restants 200 $ chacun.
Puis le marchand a annoncé qu'il achèterait des singes à 500 $ chacun ! Les villageois ont commencé à perdre le sommeil! Ils ont attrapé les six ou sept derniers singes, c'est tout ce qui restait ...ils ont obtenu 500 $ pour chacun. Les villageois attendaient anxieusement la prochaine annonce. Puis le marchand a annoncé qu'il rentrait à la maison pendant une semaine, mais que lorsqu'il reviendrait, il achèterait des singes à 1.000 $ chacun ! Il a demandé à son seul employé de prendre bien soin des singes dans la cage en attendant son retour.
Les villageois étaient très tristes car il n'y avait plus de singes à vendre à 1.000 $ ... Puis l'employé leur a dit qu'il leur vendrait secrètement des singes à 700 $ pièce. Cette nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre. Puisque ils vendraient des singes à 1.000 $ chacun, il y aurait un profit de 300 $ pour chaque singe.
Le lendemain, les villageois ont fait la queue près de la cage des singes L'employé a vendu tous les singes à 700 $ chacun. Les riches ont acheté des singes en gros. Les pauvres ont emprunté de l'argent à des prêteurs et ont aussi acheté des singes ! Les villageois ont pris soin de leurs singes et ont attendu le retour du marchand.
Mais personne n'est venu !
Alors ils ont couru chez l'employé. Mais il était déjà parti aussi ! Les villageois se sont alors rendu compte qu'ils avaient acheté les singes errants inutiles à 700 $ chacun et étaient incapables de les vendre !
C'est ainsi que naquit la monnaie de singe !
Bitcoin est la nouvelle entreprise de singe. Qui mettra beaucoup de gens en faillite pour enrichir des personnes sans scrupule ... Outre le fait qu’elle est, à l’origine, purement électronique, cette « monnaie » a la particularité de n’être liée à aucune banque centrale, d’échapper au contrôle des États et des banques, et de n’avoir ni attache, ni référence, ni valeur fondamentale. Des experts critiquent aussi l’opacité du fonctionnement de cet outil : sans banque, sans autorité monétaire, le Bitcoin ne laisse aucune trace et serait donc susceptible d’être utilisé à des fins de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme. Le Bitcoin, par l’anonymat qu’il confère, est d’ailleurs utilisé sur des sites commerciaux qui proposent parfois d’acheter des biens illicites.
La Banque de France rappelle qu’aucune autorité ne veille à la sécurisation des coffres forts électroniques .
Echanges :
- Crapaud contre prince charmant.
- Sablier en avance contre sablier en retard.
Vous n'avez pas le temps de lire ? La phrase romanesque vous épargne des livres entiers.
On a retrouvé une liste de course sur un parchemin médiéval : " n'oublie pas les escargots et ne t'arrête pas à la taverne ! "
Voilà l'origine de l' histoire du gars qui va acheter des escargots alors que sa femme l'a menacé des pires représailles s'il fait un détour à la taverne. "Promis ! juré ! ma dulcinée je serai sobre" lui promet l'époux. Il file sans s'arrêter devant les estaminets où tous ses potes l'appellent " allez viens, juste un gobelet !" Le gars a de la volonté, mais sur le chemin du retour comme il a acheté les lumas ( cela se passe en Poitou) il ne résiste pas aux chants de ses camarades ivrognes. Il picole, re picole, re re re picole. Cinq heures passent. Il voit la pendule et soudain se souvient qu'il devait rentrer tôt. Il est soûl comme un goret (puisqu'on est en Poitou). Juste avant de pousser la porte de sa maison, il répand partout les escargots. Sa femme qui l'a entendu arriver ouvre, furieuse, et le voit se pencher sur les lumas à qui il dit "allez, allez on est bientôt arrivés".
Jako journaliste de terrain profond avec lequel j'ai exploré jadis la locale la plus débridée, à Parthenay, avait mis au point une technique. Il se promenait toujours, même en repos, avec un appareil photo muni de ce gros flash qui nous équipait alors. Quand il avait bu un peu trop et qu'il tombait sur un contrôle il descendait de son auto, appareil photo en bandoulière, et demandait :
- c'est là le contrôle ? Je viens faire un papier.
Et hop, le cliché pris et les notes écrites sur son calepin, il faisait demi-tour se mettre à l'abri sans publier une seule ligne. Un merveilleux voyou ce Jako.
Voilà tout !
Si la réponse c'est "NON" ce n'est pas la peine de poser la question.
(Balthazar Forcalquier)
Après avoir lu Claude Simon
Puisque tu es là et que tu écoutes cette chanson, puisque tu es là, c'est-à-dire que tu acceptes l'absolue tristesse de cet homme né à Portland Town qui, marié a eu trois enfants morts à la guerre et qui, dès lors n'en (v)peut plus, c'est-à-dire qu'il connait la solitude totale, cette solitude que le banjo frappe, c'est-à-dire que les soupirs sont vains, alors puisque tu es là et que tu écoutes, ( alors que des enfants vont à l'école en jouant ( car la maîtresse pense à ses amours vaines) parce que l'un d'entre eux a apporté son jouet préféré qui sera jeté demain) comprends-tu cette manière d'aboutir à ce que le sort a décidé ?
Au bistro comme le bolero passe en allegro je bois du Reau, soudain je me sens guérillero auprès d'un brasero, dans le micro et j'entame mon numéro comme on fait dans le métro, les héros qui sortent du bureau me prennent pour un godelureau, mais je ne suis pas un perdreau, ni un faraud mais bien un hobereau. Je suis un maestro quand je bois du Reau ! Pouf ! Pouf !
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| Mon carnet de notes et mon stylo. Les journalistes ont tous des manies. |
Quand la fête s'achève on rejoint sa rédaction seul et l'on se met au labeur. Des fois la nuit on part : une maison brûle ou bien un gars jaloux a tué sa femme, et puis ces noces d'or, ces départs en retraite, ces concours de pêche, ces usines qui ferment, ces patrons qui vous mettent dehors, ces artistes contemporains qui vous haïssent, ces conseils municipaux qui traînent, ces assemblées générales partout, tout le temps, et ces amis en pagaille, des gens simples, chaleureux et généreux. Que de belles rencontres !
Autour d'un verre on glanait toutes les confidences politiques ou sociales ou intimes. Plus on allume de mèches plus on vous tend de bâtons de dynamite.
Jadis le commissariat, la brigade de gendarmerie et la caserne des pompiers avaient chacun leur bar. On y buvait sec et toujours en bonne compagnie. Cela permettait d'écarter quelques cauchemars, les faits divers sont souvent cruels.
Quand un élu couinait ( c'était fréquent) la réponse qu'on lui infligeait était : " c'est vrai ou non ?". En allant ainsi cahincaha j'ai obtenu deux distinctions décernées par des élus l'un de gauche, l'autre de droite, l'un me traita publiquement de "fasciste" et l'autre tout aussi publiquement de "journaliste de merde". On arrosa cela comme il convenait !
Vous n'avez pas le temps de lire ? La phrase romanesque vous épargne des livres entiers.
J'en ai marre d'être vieux, ça va durer longtemps ?
(Balthazar Forcalquier)
Quand tu es vieux et quand tu es en avance, c'est rajeunir un peu.
(Balthazar Forcalquier)
