Le quart d'aluminium naguère rutilant était culotté comme une vieille pipe, et le treillis beurré de souillures.
Seuls nos corps étaient frottés. Nous ne sentions pas mauvais. Les paras veulent des gars à la peau propre, le reste est secondaire. Je me souviens que nous avions poussé de force un camarade qui regimbait à passer sous la douche. Nous l'avons astiqué à la brosse chiendent.
Le parachute a aussi son odeur, un bouquet de nylon et d'herbe sèche.
L'avion renifle le kérosène et, parfois, un peu le vomi.
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