La race des chauvins, des porteurs de cocardes
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares
Mon Dieu qu'il ferait bon sur la terre des hommes
Si on y rencontrait cette race incongrue
Cette race importune et qui partout foisonne
La race des gens du terroir des gens du cru
Que la vie serait belle en toutes circonstances
Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards
Je ne savais pas que Brassens continuait à écrire ... toujours sur l'air du temps!
RépondreSupprimerla connerie méchante et égocentrique est certainement héréditaire ...et aussi dangereuse que des ...terroristes . Ne pourrait-on y chercher un vaccin...? ça pourrait p'tétre sauver le monde et les gens ...de partout !
RépondreSupprimerBrassens était donc visionnaire ..sous ses airs de troubadours paumé...(ce que pensaient les "bourgeois" bien pensants ...!!!)