Le soleil enjolive tout, adoucit les verts trop vifs, émeut le ciel. Le spectacle est somptueux, et gratuit. Il suffit de prendre le temps de s'arrêter. Rien n'est jamais ordinaire.
Le soleil enjolive tout, adoucit les verts trop vifs, émeut le ciel. Le spectacle est somptueux, et gratuit. Il suffit de prendre le temps de s'arrêter. Rien n'est jamais ordinaire.
A Thouars même l'entrée des écuries du château est majestueuse. On s'imagine arriver dans un fiacre, les sabots des chevaux frappant les pavés. Descendre et aller boire un grand verre de vin savoureux dans l'auberge de la place Saint-Médard.
Chez les amoureux de la photo il y a un truc adoré qui, chez nous, n'est pas très apprécié : les pellicules sur la tête.
La grande force de l'humble ver de terre c'est qu'il ne se brûlera jamais les ailes.
( Balthazar Forcalquier )
Sur son piton le château de Thouars qui accueille un collège ( sans doute l'un des plus beaux de France ) reste majestueux sans forfanterie. Bordé de sa chapelle royale ( une rareté de plus ) le château reste digne. L'harmonie est la règle d'or. Pas d'effets superflus, pas de débordements. Ici on ne hausse pas la voix, ce n'est pas nécessaire. Ordre, paix, sérénité rythment les siècles.
Dans les doux replis du Clos de l'Abbaye à Saint-Jean de Thouars, c'est l'harmonie qui règne. Tout est tendre, calme, beau. On entend parfois les rires des enfants qui jouent et se balancent plus haut dans un espace aménagé pour eux. Les gens qui se croisent et ne se connaissent pas se saluent avec un sourire. Ici tout le monde parle la même langue : le plaisir.
A force de mettre des anniversaires dans les années, on vieillit de plus en plus !
(Balthazar Forcalquier)
La troupe est stupéfiante ! Les comédiens sont parfaits, émouvants, bouleversants. La mise en scène nous fait entrer avec rudesse (et parfois tendresse) dans la brutalité d'un nouveau monde implacable.
On peut voir encore cette création à Louzy les 18 et 19 octobre prochain
Je prends des cours de procrastination mais le prof annule toujours ses cours !
( Balthazar Forcalquier )
Le compte à rebours c'est quand une pendule fait TAC-TIC.
( Balthazar Forcalquier )
- Bon c'est pas dur, tu prends le tuyau V664646428, tu le branches sur T654614 et tu ouvres la vanne AE6511541, ensuite tu baisses le levier J4545554 sans oublier de basculer l'interrupteur S6816419846.
- Allo ?
- Oui, y a quelqu'un ?
- Oui mais je pensais être en communication avec ma femme.
-Alors c'est une erreur vous avez fait un faux numéro.
(Photo Phil Gaz)
Les pilotes tentent de signer dans le ciel mais à part le A et le X ils ne parviennent pas à dessiner un K avec leur manche à balai. J'offre une demi-bouteille de vin à celui qui y parvient.
Le jour où le vaccin contre la connerie sera découvert ... forcément il y en a qui le refuseront.
(Balthazar Forcalquier)
Cet énorme caillou était devenu l'ami des promeneurs, il leur murmurait son histoire qui datait d'un temps où la mer était partout. Puis il avait fréquenté les mammouths qui venaient se gratter contre lui, il fut le compagnon des vikings des bergères et des princesses. Un jour il bascula soudain et dévala vers l'océan rejoignant ainsi sa jeunesse. Il était ravi !
Le problème avec l'art contemporain c'est qu'on ne sait jamais si l'échelle ou l'échafaudage qui sont à côté en font partie ...
Les vents tempétueux ont abandonné leurs offensives, même la pluie s'est lassée et a renoncé à user les deux gros cailloux. Le nouveau dolmen est un succès !
Voilà un protège-cahier pour les écoliers ! Heureusement le sirop de menthe est arrivé et a changé les mauvaises habitudes.
Pour identifier la main droite, il suffit de placer les deux mains à plat : la main droite est celle dont le pouce est à gauche.
Le total des dés fait 12, comme le nombre des apôtres.
Pendant quelques temps, ici, c'est les vacances. Le blog suspend sa publication quotidienne. A bientôt !
Un petit serpent demande à sa mère :
- Maman est-ce que je suis venimeux ?
- Non pourquoi ?
- Parce que je me suis mordu la langue.