c'est d'une poignante beauté. On avance sur un chemin et soudain se lève un vent léger et l'on pense à Fernando Pessoa
"Je ne suis rien.
Je ne serai jamais rien.
Je ne peux vouloir être rien.
A part çà, je porte en moi tous les rêves du monde.
Fenêtres de ma chambre,
Ma chambre où vit l’un des millions d’êtres au monde
dont personne ne sait qui il est
(Et si on le savait, que saurait-on ?),"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire