l'aphorisme de la semaine

 Oui, c'est vrai : je ne dis que des mensonges.

(Balthazar Forcalquier)

La boune année à tertous en dépit de ce couillon d'Igor

 

Prix d'un appel local

Peu probable oui ... mais il faut croire aux miracles quand même.

 

Encore une preuve

Des tests de vaccin ont été faits sur des citrons ( les pro-vaccins étant de nature acide, c'est prouvé). Et voici ce que cela a donné. Les citrons se mangent entre eux ! Et qu'on ne vienne pas me dire en plus que la terre est ronde et que la lune n'est pas habitable !

 

Répétition pour le réveillon

Mettre le son !

 

Retour de réveillon

(Merci l'Ours)

Moi pareil !

 

Aventure d'après réveillon

 

L'aphorisme de Noël

 Si le père Noël souffre de la maladie d'Alzheimer attendez vous à être surpris à Pâques.

(Balthazar Forcalquier)

Bafouille au père Noël

 

Traits

 

Je n'en peux plus

 

Rien ne va plus ! Dès que j'ouvre le placard pour me servir un verre de vin, la cuisine fait la gueule, le placard m'envoie un regard qui veut dire " encore !!! mais tu as déjà bu un verre hier !". Un de ces jours je vais aller chercher une masse et je vais te foutre tout ça en l'air. Et après on me dira que je deviens parano.

Voilà c'est tout.

Martine, toujours une bonne note

 

La petite Martine avait un sens de l'humour inouï. 

Par exemple sur cette photo elle imite l'autruche. Son papa lui dit : " Mais non Martine, l'autruche met sa tête dans la terre."

Et Martine de répondre : "He bien oui j'ai la tête dans le sol ... c'est bien un tuba en sol ! Non ?" Impayable Martine !

La vérité sur le père Noël

 A Saint-Jean-de-Thouars le père Noël est un extra-terrestre, il arrive en soucoupe volante.

En voici la preuve :

La phrase romanesque

Retrouver la bonne nouvelle parmi ces trois informations.

• 10 juin 1944 : massacre d'Oradour-sur-Glane.
• 10 juin 1940 : déclaration de guerre de l'Italie à la France.
• 10 juin : date de naissance de Balthazar. 

un indice :

L'aphorisme de la semaine

 Moi, avant de me faire enterrer, je consulterai le calendrier lunaire.

(Lucas)

Heureusement le Pompois est là

 

Traits bien traités

 

Qui se souvient du vrai goût du "porteur de fraise" ?

 

Dessin Louie Travis

Elle n'avait pas de canine mais elle aimait la viande. Et par dessus tout elle adorait cette friandise joliment baptisée "le porteur de fraise". Il fallait le manger d'une seule bouchée pour bien savourer l'alliance du lilliputien et du fruit. Et puis un jour les défenseurs des lilliputiens firent interdire ce délice, arguant de la cruauté imposée à des êtres vivants. On remplaça le petit homme par de la pâte d'amande.

La cause était noble, mais la gastronomie y perdit beaucoup. Un jour vous verrez il sera interdit de se ronger les ongles !

Voilà tout.

La triste vie des poteaux téléphoniques

En ont-ils entendu des conversations ces vieux poteaux téléphoniques ? Des confidences amoureuses, des insultes, des plaintes, des balivernes, des banalités (ô combien) et voilà que leur temps est compté. Il n'y a pas de retraite pour eux.  ils sont hélas destinés à la bûche et au feu. Ils ont pourtant respecté l'obligation de confidentialité avec la plus grande abnégation. Cela mérite le respect.

Et si on fondait l'association "pour une retraite paisible des vieux poteaux téléphoniques" ? En êtes-vous ? On pourrait en faire des bancs publics, ils savent déjà tout des nécessités du secret.

Voilà tout.

 

La tactique du tic tac

 Le centre ville en travaux depuis des mois, la pendule de la place principale en panne depuis des années, la rue Saint-Médard désertée depuis des lustres. Il fait bon vivre à Thouars où le temps n'a pas de prise.

La phrase romanesque

 Ils ont voulu créer la confrérie des ambitieux mais cela n'a pas duré longtemps tous voulaient être le grand maître.

(Balthazar Forcalquier)

L'aphorisme de la semaine

 Je passe mon temps à faire plaisir à mon cerveau.

(Balthazar Forcalquier)

Feu d'artifice à portée de main

 

L'escroc savait faire trinquer

 

"hum ... parfum de marais ... ça va se vendre en bio " ( dessin Louie Travis)

Martial était un crapaud de haute volée si l'on peut dire. Il avait vécu longtemps de petites combines un peu minables, vendant de faux calendriers à des vieux, des lunettes à des aveugles, un  dictionnaire des signes à des muets ... Bref rien de bien lumineux. Jusqu'au jour où il fit fortune. Il avait trouvé l'idée géniale qui changea sa vie. Il n'en parla jamais à personne jusqu'à sa mort. 

On trouva alors dans sa table de nuit un petit texte de sa main qui dévoilait tout. Le voici :

"Ma recette

"L'investissement est minuscule : ouvrir plusieurs comptes bancaires, acheter le journal local, et au super marché, des bouteilles d'un vin très médiocre, et surtout le moins cher ! Relever les décès dans le journal. Ne conserver que les morts âgés. Uniquement des hommes. Retirer les étiquettes des bouteilles de vin. Les remplacer par des étiquettes de grands crus prises sur internet et photocopiées. Envoyer une caisse de douze bouteilles à la famille, accompagnée de ce mot " cher Monsieur, nous avons le plaisir de vous faire parvenir votre commande. Nous souhaitons qu'elle puisse vous apporter un grand plaisir. Veuillez trouver ci-joint la facture : 

12 x 270 € = 3.240 €. En votre aimablement règlement, etc, etc et ajouter les indications bancaires.

"Et c'est tout ! La famille éplorée paiera en se disant que pépé avait des goûts de luxe. Et s'il arrive qu'un héritier savoure les flacons, c'est sûr : il trouvera le picrate délicieux. A ce prix c'est bien naturel.

"Pour dix envois mensuels la recette est de 32.400 € moins le prix du journal et celui de la bibine."

"A votre santé !"

 

Phrases joueuses

                               ça coinche à Manille !

Echec aux dames

Elles ne sont pas contentes 

Le poète bâtisseur

Guillaume Paneau est un  type rare, artisan de "l'agro-poésie" à Saint-Jouin-de-Marnes, il a bâti en pierres sèches  une sorte de tour de Babel dans son jardin. Un lieu où la poésie parle une langue universelle. On y monte par une spirale et là-haut on peut allumer un feu si le coeur vous en dit ; pour guider les voyageurs égarés ou pour réchauffer des membres alanguis. 

René Char, ici, ne serait pas dépaysé :

"Sur le muet silex de midi écartelé

Accompagnait notre entente aux mouvements tendres

La faucille partout devait se reposer

Notre rareté commençait un règne"

 

Au temps des hootnannies

Pull en laine maison, jeans, paraboots. 

En ce temps à Paris j'étais coursier, laveur de carreaux, laveurs de vitre, ouvreur de courrier au siège d'une grande assurance. Mémé ( ma grand-mère) m'avait donné des sous pour m'acheter ce que je voulais. J'ai filé rue Quincampoix où était installé le magasin des Folkeux. J'étais Folkeux jusqu'au bout des doigts. Et là j'ai acheté un dulcimer.

De temps en temps nous allions avec mon pote Riton assister aux hootnannies du centre américain.

Pour pas cher on pouvait entendre des cracks comme Steve Waring 

 https://www.youtube.com/watch?v=ARgWnq1_kkU

 

La phrase romanesque

 Avec un peu de chance elle peut nourrir votre imaginaire une semaine !

Je me demande ce que foutait mon ancêtre au moyen-âge ?

(Balthazar Forcalquier)

L'aphorisme de la semaine

 Des fois cela me lasse de me délasser.

(Balthazar Forcalquier)

Les extra-terrestres ont du bon sens

 

Petite annonce

 

(Merci l'Ours)

Sa femme était une cuisinière de qualité, mais elle est partie. Il cherche quelqu'un pour l'héberger. Bon, il n'est pas très chaleureux, mais on peut compter sur lui.

Pertinent

 

La rue Marcel Caché porte bien son nom !

Soyez responsable

 

(Merci Gaétan)

Il est vrai que le tireur masqué manque de panache. Il redoute de se faire reconnaître mais il n'a pas peur d'appuyer sur la gâchette ? Allons ! Un peu d'audace ! Du calibre que diable !

Ballon prisonnier

 Thouars, le collège Marie de la Tour d'Auvergne. Un ballon trop audacieux a tenté de faire l'école buissonnière, mais il était tellement gonflé, qu'il s'est fait repérer ! Il a manqué son but.

La phrase romanesque

 Si il y a un truc que je n'aime pas : c'est payer ! J'aime la gratuité.

(Balthazar Forcalquier)

L'aphorisme de la semaine

 Il y a pire que mourir, c'est s'ennuyer.

(Balthazar Forcalquier)

Cela reste vrai

 

Tant qu'il reste du Pompois

 

Il est temps de rire

 

Fantaisie

 

(Photo Collin)

On a hâte de croiser le prochain panneau "Stop"

C'est cadeau

 

(Photo : Collin)

On a plus de choix quand il n'y a rien à prendre, j'hésite entre que dalle à droite ou des clous à gauche ou des nèfles au milieu. C'est fou comme le vide est plein !

La phrase romanesque

 Je quitte la France et l'étranger pour aller ailleurs.

( Daniel croisé au "Pied de Biche")

L'aphorisme de la semaine

 A force de ne rien faire je suis devenu infatigable.

(Dominique croisé à Potébio)

Qu'importe il reste du Pompois (suite)

 

Courrier explosif

 

(merci B et Cl.)

Il l'aimait follement et ses lettres étaient des explosions de passion. "Je t'aime comme agit le bulldozer "  écrivait-il " je t'aime atomiquement".

 Il fit même un petit poème confié à la Poste :

J'explose et je m'expose

A TOI je pense comme le fait une grenade dégoupillée

Elle n'a que cinq secondes à vivre encore avant d'être bousillée

dans un merveilleux nuage 

je vais à ton abordage

Ces missives chargeaient la boîte aux lettres (d'autant que la belle était partie à Pernambouc). Et tout céda soudain !

Voilà tout.

Il savait

 

dessin Louie Travis

Blaise Cendrars savait cela. Lui qui, Suisse, s'était engagé dans la légion française pour combattre l'Allemand en 14/18, parce que, disait-il, "la poésie c'est l'action". Lui qui fut amputé de la main droite après qu'elle fut hachée par la mitraille à la ferme de Navarin le 28 septembre 1915. Lui qui arpenta les méridiens. Il savait que les femmes terrassent les dragons.

Pas faux !

(Merci Tédi)

C'est vrai que l'ordre conduit parfois à un cul de sac !
 

Un salut savoureux

 

Dans le dernier numéro de la "Revue des Vins de France". Tout est vrai !

La phrase romanesque

 Une phrase qui vous accompagne toute cette semaine.

Le lion est peut-être le roi des animaux, cela ne l'empêche pas d'avoir des puces.

(Balthazar Forcalquier)

L'aphorisme de la semaine

 Ce qui est léger ne se brise pas.

(Balthazar Forcalquier)

Visite de chantiers

 

C'est vrai que cela nous manquait

 

(vu dans la NR)

Quand j'allais à Oiron arpenter l'art contemporain je me demandais mais pourquoi n'a-t-on pas une toile uniformément vierge disposée horizontalement devant une fenêtre? Pour faire court je me disais in petto pourquoi n'avons-nous pas ici une peinture mise à plat?

Ouf ... c'est fait ... on va passer un bon Noël !

Il a bien travaillé le charpentier !

 

(Merci Gilles)

 

Panneau utile à Thouars

Voilà qui est clair !

Mon "ex" n'a pas le droit de venir ici ! 24 h / 24 ! Pas le droit de me toucher ! Pas le droit de m'allumer ! Et puis c'est tout !

 

Retirer le déguisement

 

 C'était bien trouvé ce déguisement de la ville qui fait peur, mais c'est fini Halloween ! Il faut retrouver un visage ordinaire.

La phrase romanesque

 Mon squelette est persuadé de durer plus longtemps que moi, il fait moins le fier quand je lui dis que je serai incinéré.

( Balthazar Forcalquier)

L'aphorisme de la semaine

 Je n'aime pas les gens qui ont toujours tort, ni ceux qui ont toujours raison d'ailleurs.

(Balthazar Forcalquier)

Dans les coulisses des vendanges chez Nicolas

 

Où sont-ils passés ?

 

(Merci B. et Cl.)

Du numéro 707 on passe au 739 ! où sont passés les habitants du  709, 711, 713, 715, 717, 719, 721, 723, 725, 727, 729, 731, 733, 735, 737 ? Dans quelle faille de l'espace temps ont-ils plongé? Il faudrait créer une association et leur envoyer une carte pour leur dire qu'on pense à eux !