Dans leur livre " la femme au XVIII e siècle " les frères Goncourt indiquent : "le couvent apparaît bien bien plutôt comme un asile que comme une prison (...) Le refuge presque obligé des femmes maltraitées par la petite vérole *qui défigurait alors le quart des femmes. La famille par toutes ses exhortations poussait vers l'ombre d'un couvent la jeune personne à laquelle arrivait ce malheur. "
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