Après avoir lu Claude Simon
Puisque tu es là et que tu écoutes cette chanson, puisque tu es là, c'est-à-dire que tu acceptes l'absolue tristesse de cet homme né à Portland Town qui, marié a eu trois enfants morts à la guerre et qui, dès lors n'en (v)peut plus, c'est-à-dire qu'il connait la solitude totale, cette solitude que le banjo frappe, c'est-à-dire que les soupirs sont vains, alors puisque tu es là et que tu écoutes, ( alors que des enfants vont à l'école en jouant ( car la maîtresse pense à ses amours vaines) parce que l'un d'entre eux a apporté son jouet préféré qui sera jeté demain) comprends-tu cette manière d'aboutir à ce que le sort a décidé ?
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