Quand un troupeau de moutons parcourt le ciel, il faut partager ce divin cadeau. Et là, pas besoin de chiens de berger !
Le blog qui dit n'importe quoi et même son contraire
Quand un troupeau de moutons parcourt le ciel, il faut partager ce divin cadeau. Et là, pas besoin de chiens de berger !
Le porteur d'eau de Vélasquez. C'est l'un de mes peintres préférés. J'ai passé beaucoup de temps devant ses œuvres au Prado de Madrid. Tout est fluide, simple et bouleversant. Profondément humain et donc audacieux.
Le soleil enjolive tout, adoucit les verts trop vifs, émeut le ciel. Le spectacle est somptueux, et gratuit. Il suffit de prendre le temps de s'arrêter. Rien n'est jamais ordinaire.
A Thouars même l'entrée des écuries du château est majestueuse. On s'imagine arriver dans un fiacre, les sabots des chevaux frappant les pavés. Descendre et aller boire un grand verre de vin savoureux dans l'auberge de la place Saint-Médard.
Chez les amoureux de la photo il y a un truc adoré qui, chez nous, n'est pas très apprécié : les pellicules sur la tête.
La grande force de l'humble ver de terre c'est qu'il ne se brûlera jamais les ailes.
( Balthazar Forcalquier )