Celui qui aime perdre est-il mauvais joueur ?
(Balthazar Forcalquier)
Le blog qui dit n'importe quoi et même son contraire
L'essentiel c'est de s'envoler !
Quand un troupeau de moutons parcourt le ciel, il faut partager ce divin cadeau. Et là, pas besoin de chiens de berger !
Le porteur d'eau de Vélasquez. C'est l'un de mes peintres préférés. J'ai passé beaucoup de temps devant ses œuvres au Prado de Madrid. Tout est fluide, simple et bouleversant. Profondément humain et donc audacieux.
Le soleil enjolive tout, adoucit les verts trop vifs, émeut le ciel. Le spectacle est somptueux, et gratuit. Il suffit de prendre le temps de s'arrêter. Rien n'est jamais ordinaire.